Mardi 17 mai – 18h30
Rencontre- lecture avec “Le sabot”, revue et maison d’édition d'”Arts et littérature de sabotage” à la librairie de Mellionnec.
Venez écouter et discuter de littérature contemporaine, en présence d’auteur·ices, et rencontrer l’aventure éditoriale du” sabot”.
En présence d’Esther, Natol et Paul Gourdon
pour les livres Aller au fond, l’été, Plein soleil et L’endormi
“Aller au fond, l’été a quelque chose de la nouvelle, du poème narratif, et du thriller. La langueur transpire une violence sourde, étrange et caniculaire. Les tableaux qui se succèdent au bord de la piscine déroulent le film des derniers jours du narrateur avec Lola jusqu’à leur issue fatale.”
pour les livres Aller au fond, l’été, Plein soleil et L’endormi
“Aller au fond, l’été a quelque chose de la nouvelle, du poème narratif, et du thriller. La langueur transpire une violence sourde, étrange et caniculaire. Les tableaux qui se succèdent au bord de la piscine déroulent le film des derniers jours du narrateur avec Lola jusqu’à leur issue fatale.”
Plein soleil :
“Lancée sur les traces d’un auteur à succès avec qui elle a des comptes à régler, Léa croise la route du Lacis, une nébuleuse cybercriminelle. Pendant ce temps, la rumeur chuchote à travers l’Europe le nom d’une mouvance nouvelle, née à Istanbul, qui depuis le tréfonds de la nuit s’apprête à inonder le jour.”
et
“Lancée sur les traces d’un auteur à succès avec qui elle a des comptes à régler, Léa croise la route du Lacis, une nébuleuse cybercriminelle. Pendant ce temps, la rumeur chuchote à travers l’Europe le nom d’une mouvance nouvelle, née à Istanbul, qui depuis le tréfonds de la nuit s’apprête à inonder le jour.”
et
L’endormi
“Faire encore de la poésie (et utiliser ce mot) sans le recours à la posture de l’avant-garde ; en affrontant de manière désinvolte le syndrome de la page noire (tout a été déjà écrit) ; en utilisant la prison du vers libre ; en commettant beaucoup d’anachronismes ; sans penser que ça peut changer la vie ; sans penser que ça ne change absolument rien ; pour chercher encore ne serait-ce qu’un·e interlocuteur·rice.”
“Faire encore de la poésie (et utiliser ce mot) sans le recours à la posture de l’avant-garde ; en affrontant de manière désinvolte le syndrome de la page noire (tout a été déjà écrit) ; en utilisant la prison du vers libre ; en commettant beaucoup d’anachronismes ; sans penser que ça peut changer la vie ; sans penser que ça ne change absolument rien ; pour chercher encore ne serait-ce qu’un·e interlocuteur·rice.”
sur inscription par mail à contact@librairieletempsquilfait.org