Le mercredi 26 avril de 18h à 20h30, Caroline Perez, fondatrice de Désobéissance fertile propose d’échange sur la NAISSANCE comme levier d’émancipation personnel et collectif.
Dans notre quête d’autonomie, il y a une grande oubliée, notre capacité de reproduction.
Elle est aussi importante que l’autonomie alimentaire car sans elle, plus d’humains biologiques.
Au delà des nombreux enjeux politiques ( lobby pharmaceutique/ lobby transhumaniste) autour l’accouchement, nous découvrirons l’aspect civilisationel.
Elle est aussi importante que l’autonomie alimentaire car sans elle, plus d’humains biologiques.
Au delà des nombreux enjeux politiques ( lobby pharmaceutique/ lobby transhumaniste) autour l’accouchement, nous découvrirons l’aspect civilisationel.
L’industrialisation de la naissance humaine a des conséquences aux niveaux physiques et émotionnelles lourdes, tant pour l’enfant que la femme ( voir le père si il est profondément impliqué).
Bien naître façonne notre bien-être…
Dans un mouvement où l’on souhaite sortir des rapports de domination, découvrir et comprendre un sujet qui est le commencement de toute société et qui est a son paroxysme de violence, semble indispensable.